Nous avons donc choisi un jour du mois d'août pour visiter le village ! 150 places de parking pour tout le monde (météo pas terrible, donc vacanciers pas dans l'eau), mon aveyronnais de compagnon était tout "roumègue" (le mot local pour dire qu'il était énervé, légèrement, à cause de sa patience légendaire).
Après le parking, place ouverte donc à la découverte de ce petit joyau. A voir sans aucun doute, à regarder sous toutes les coutures, à visiter l'abbatiale (XI - XIIème siècles).
J'ai retenu que c'est une étape sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, que Conques a été choisi fin VIIIème par un ermite pour son site sauvage en forme de coquille, d'où le nom de Conques, qu'il y a un trésor superbe que nous ne sommes pas allés visiter (on le garde pour la prochaine visite, dans 7 ans peut-être), que les roches du coin sont le grès rouge, le calcaire jaune, le granit et le schiste, ce qui donne des couleurs magnifiques aux bâtis quand ils associent plusieurs de ces roches.
Il y a aussi les vitraux de Soulages, simples mais qui donnent beaucoup de lumière à l'intérieur de l'abbatiale.
Nous sommes repartis dans notre sud en passant par Sénergues, Villecomtal, superbe campagne qui ressemble un peu au Rougier du côté de Camarès.
Prochaine étape estivale : Najac, le viaduc du Viaur...
A bientôt pour la suite de la visite
1 commentaire:
A ce que je vois, tu as été conques-ise (hihi) ! Merci en tout cas pour cette description digne du meilleur office de tourisme. Si j'étais de la mairie de ce village, je t'offrirai un panier gourmand de la région avec des conques-illages. On peut aussi organiser un conques-ours de graveur sur roches et même jouer au conques-istador. Pour finir la journée devant une plâtrée de conques-illettes.
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