
Il formula donc sa demande en insistant sur l’urgence, qui n’avait pas lieu d’être.
Foi d’autre aveyronnais [(certainement du village ou de la ville d’à côté ou même conjoint(e)], il n’était pas question de répondre à sa demande dans l’urgence puisqu’il n’y en avait pas. Il allait donc devoir attendre, car il n’allait tout de même pas perdre le lait !
J’adore cette expression. Elle nous situe bien en milieu rural, à côté des brebis du causse, de celles qui donnent le bon lait pour le roquefort… C’est du local pur. On sentirait presque l’odeur de la bergerie et les grands espaces où vont brouter les brebis.
2 commentaires:
voila que le sapin vosgien embitionne de perdre ses epines, serait il en train de se muer en résineux bien plus méridional nommé mélèze?
Est ce une mutation génétique à cause d'ingestion massive de tripous ou bien un souvenir du Queyras, l'autre pays du mélèze?
En tout cas les anecdotes locales sont sympas!
Moi, si je rencontre des trans-brebis comme sur la photo, maquillées comme une voiture volée, je vais dire "les bras m'en tombent" comme on dit du côté des quiches et des brimbelles !
Mais que dit-on au PDG de TF1 quand il est pressé comme ton aveyronnais ? "Tu ne vas pa perdre le lait, Le Lay" ? Remarque, on s'en fout, il est breton !
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